Quand la mort vend ses services ♦ Freerik Andorr



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STAR WARS - RISE OF THE FORCE
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William Costigan
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Nouvelle république

Quand la mort vend ses services ♦ Freerik Andorr 629091main1 Quand la mort vend ses services ♦ Freerik Andorr 431409commerce2 Quand la mort vend ses services ♦ Freerik Andorr 234330diplomatie1 Quand la mort vend ses services ♦ Freerik Andorr 298035negociation3 Quand la mort vend ses services ♦ Freerik Andorr 812817savoir2 Quand la mort vend ses services ♦ Freerik Andorr 763342vitesse1 Age : 34
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Il est bientôt 22h sur la ville planète, plus précisemment dans le District de Glitannai, celle-ci est rythmée par le bruit de botte des impériaux, les cris de officiers pour maintenir l'ordre dans les rangs et les messages de propagande diffusés dans tout le quartier.

Le Glitannai est un riche établissement, en échange de consommations gratuites pour quelques élites, ils profitent d'une légère allonge sur le couvre feu et ne souffrent pas trop du rationnement. Je n'ai jamais eu l'occasion de gouter leurs cocktails, mais de ce que j'en ai vu, ils ont l'air excelents.

Je suis au chaud chez moi, mon major d'homme, Gerald, dépose un verre d'eau et un Whisky devant moi. Avec mon briquet, j'allume mon cigare, tirant deux bouffées je souffle avec satisfaction la fumée devant moi, la regardant se dissiper dans le salon. Prenant le cigare entre mon pouce et index, j'admire la chose avec un sourire franc :
" Dire qu'une seule de ces choses représente un mois de salaire sur certaines planète, le monde est vraiment bien fait, ici, sur Corellia "

Appuyant sur mon comlink, je déclenche la liaison holographique vers le Moonriser, j'ai été placé dans un salon privé, comme il avait convenu lors de ma réservation. Leur caméra n'est pas de très bonne facture, aussi j'ai du mal à distinguer les motifs sur les murs, et la couleur monotone bleu ne me permet pas d'en distinguer les couleurs. Rapidement, je procède aux réglages avec l'un des serveurs du bar, afin de m'assurer que le son, lui, fonctionnait parfaitement.

M'adressant au patron : " N'oubliez pas notre accord, il doit être traité en client de valeur, quelque soit sa tenue ou ses manières, veillez à ce qu'il soit bien servi et aussi souvent qu'il le souhaitera, je vous ai payé très largement pour cela. ". Après un rapide acquiescement, il se retira, refermant la porte du salon derrière lui.

* Dans quelques minutes, Freerich arrivera, nous pourront voir ce qu'il vaut vraiment. J'espère qu'il ne s'attendait pas à me trouver en personne. Qui serait prêt à échanger en face à face avec un assassin de toute manière ? *

C'était tout à fait volontairement que je n'avais pas mentionné ce dernier point, le fait que le rendez-vous se ferai par holovision. Une raison toute simple à cela : le tempérament de ce chasseur de prime. Son langage cru et direct, son absence de subtilité laissait entendre un manque d'expérience, de maturité et donc, un danger potentiel. Quoi qu'il en fut, pour rien au monde je n'aurai rencontré un assassin de visu, mais encore moins un qui semblait pouvoir agir impulsivement. Une autre raison était de voir sa réaction : pouvait-il envisager que je ne me manifeste qu'en holovision dans un bar, lieu de convivialité où l'on consomme, ensemble, les boissons de l'établissement ? Je voulais voir la surprise naître dans son esprit et observer ce qu'il en ferait.

" Monsieur, votre cravate... " Gerald me fit sortir de mes réflexions, portant mon attention sur ma tenue, je me levais de mon siège en bois sculpté pour me tourner vers un miroir sur le mur d'a coté : j'avais mit l'un de mes costards les plus sévères, bleu marine sans motif, la veste plutôt serrée mettait en évidence ma carrure. Une chemise blanche et une cravate bleu nuit rayée de gris, c"était sans doute la seule trace de fantaisie de ma tenue. Ma cravate était légèrement décalée et surtout, un peu de cendre était tombé dessus. Laissant les mains expertes de Gerald s'occuper de réparer cela, je fixais mon propre reflet dans le miroir, d'un regard de défi, l'envie de me battre, de faire mal, de faire du mal, mais aussi une puissante pulsion sexuelle jaillis en moi, cette bestialité non contrôlée en moi refit son apparition.
" Gerald, veuillez faire préparer la voiture de soirée, je sortirai après mon entretien, j'ai envie de me défouler... non, j'en ai besoin plutôt. "
" Comme vous voulez Monsieur, irez-vous plutôt voir vos amis ou... des vendeuses d'amour ? "
" Les putes, même de luxe ne vendent pas de l'amour Gerald, juste du plaisir, je vous l'ai déjà dit. Non, je compte aller voir Thomas, j'ai envie d'un homme ce soir ! "
Gerald s'éclipsa alors sans mot dire afin de faire préparer la-dite voiture. Pendant ce temps, je me rasseyais me plongeant de nouveau dans l'espace virtuel qui donnait dans le bar.
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Free avait été contacté par comlink pour un contrat qui semblait peut-être juteux. Cependant, il n'avait eu aucune information sur qui était son commanditaire ou ce qu'il devrait faire. Il semblerait que cette personne savait comment s'y prendre pour commercer. Etant lui-même fils de commerçant, il reconnaissait un peu qui avait ou non le sens du commerce. Cela ne l'énervait pas de ne pas savoir pour qui il travaillait, mais presque. Un rien ne le poussait à bout ses temps-ci. Bon, il est vrai aussi qu'il se trouvait dans une zone contrôlé par l'Empire et que pour cette raison, son envie de tout démolir lui traversait l'esprit.

Néanmoins, Free se contrôlait en restant calme. Coruscant, la poubelle industrielle de la galaxie. Oui, ce nom Free le lui avait donné en raison de tout les bâtiments s'y trouvant et du je m'en foutisme des gens d'en haut pour ceux des bas-fonds. Partout, où il va cela est le cas. Il pensait même qu'avant les jedis n'en faisait pas partie. Et dans un sens, c'est le cas. Mais ils sont hypocrites. S'il n'avait aucune de chance de devenir un Jedi, ils auraient mieux valu pour eux qui le laisse là où il était avant. Pour ce que Luke lui avait fait, Free lui en voulait. Lui qui pensait que les Jedis auraient été une nouvelle famile pour lui... Il s'était complètement fourvoyer. Première règle à ne jamais briser selon Free : Ne jamais croire en quelqu'un.

Revenant à lui, Free regardait son comlink afin de connaître l'adresse où il avait rendez-vous. Le nom qu'il lisait lui disait quelque chose. Il ne s'était vraiment attardé dans ce district. La foule ne le rendait pas mal, mais quitte à être quelque part, il préférait de loin être dans un lieu isolé de tous. La solitude le pesait, mais elle était préférable sinon Free aurait vite fait de tuer quelqu'un. Tout en continuant de marcher pour se rendre dans le district, Free faisait son possible d'éviter d'être bousculer. Chose qu'il réussit plutôt bien.

Finalement, Free arrivait devant la bâtisse et le garde se trouvant à l'entrée lui bloquait le passage. " Qu'est ce qu'un type mal sapé comme toi fait ici ?" Free le regardait avec des yeux plein de rage. Cela l'énervait de voir qu'il y avait toujours des types comme lui qui vivait. " Je suis Freerik et j'ai rendez-vous."

Il le lui avait dit sur un ton sec et froid, mais de façon à ce qu'il comprenne qu'il était sérieux. Le garde avait entendu parlé de ce nom par son patron et le laissait rentrer en contactant son boss que Free venait d'arriver. Ce que vit alors le chasseur de prime le stupéfait, mais pas dans le bon sens. Tout le monde semblait l'accueillir comme un roi dans un château. Et même le patron qui se présentait à lui l'accueillit avec chaleur. IL lui tendit la main, mais il refusait de la serrer. " Dites moi où est mon commanditaire." Freerik était à l'heure, mais il ne supportait pas tout ce boucan infernal à son égard.

Le patron l'emmenait en personne devant la pièce en lui offrant un whisky coréllien de son cru. Freerik le prenait et entrait dans la pièce et remarquait un hologramme. Il soupirait et alla s'asseoir en posant la bouteille devant lui... **Méfiant jusqu'au bout, il fait bien** pensait-il sans sourire. "Je suis Freerik."
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William Costigan
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MessageSujet: Re: Quand la mort vend ses services ♦ Freerik Andorr   Quand la mort vend ses services ♦ Freerik Andorr Empty22/3/2016, 08:46


Dernière édition par William Costigan le 22/3/2016, 08:47, édité 1 fois

Quelques minutes plus tard, comme attendu, le fameux chasseur de prime fit son entrée, sans cérémonie ni apparat, sans salutation non plus… Ce manque total de respect me mit d’extrême mauvaise humeur.
« Je sais bien qui vous êtes, sinon vous ne seriez pas à ma table ! » pestais-je. « Au moins vous êtes à l’heure, c’est déjà ça. Dites, votre infâme désinvolture s’applique-t-elle également à votre travail ou la réservez-vous uniquement à vos phases d’entretiens avec vos clients ? » Explosais-je.
Prenant mon verre en main, je pris le temps de ressentir la fraicheur et la solidité de celui-ci, tâchant d’oublier ma colère, soudain une idée parvint à m’apaiser : « Contrairement à Vankin qui s’était mis à mon niveau lors de notre entretient, où il fut libre de fixer son tarif, je me ferai intraitable avec ce jeune impertinent et s’il joue les mécontents, je lui arracherai les ailes. »
Ayant retrouvé mes moyens, je repassais ma main sur ma tête, lissant les quelques cheveux qui s’étaient échappés de l’ordre de ma coiffure, ajustai mes lunettes et prit une longue et lente respiration.

« Je vous prie de m'excuser, je suis quelque peu... excessif. Bref, nous sommes ici pour parler affaire, alors parlons affaire. L'assassinat a déjà été planifié par mes soins, il ne me manquais plus que l'exécuteur, il vous faudra donc respecter scrupuleusement mes instructions, sinon le contrat ne pas respecté et vous ne serez pas payé ! Est-ce que cela vous convient ? »
La question était cruciale car s'il n'était pas capable de suivre un plan non établit par lui-même, il n'était pas question de l'introduire dans pareille démarche, ce serait se tirer un coup de blaster dans le pied.

J'étais beaucoup moins nerveux que la dernière fois, ce fameux plan, aussi tendu et terrible soit-il me stressait beaucoup moins, ayant eu le temps d'en accepter les tenants et les aboutissants, je sentais toutefois la pression monter et je fus obligé de défaire quelque peu ma cravate, afin de pouvoir bien respirer. Je pris le temps de faire tourner le liquide doré dans mon verre, d'en humer le contenu et de le goûter du bout des lèvres avant d'en prendre une demie-gorgée.

« Le contrat vise mon père, l'assassinat se passera donc sur Corellia. Les conditions du contrat serviront à écarter tout soupçon contre moi, car si une telle chose devait arriver, ma situation serait bien pire que celle que j'ai actuellement, d'où le fait que le contrat n'en serait pas respecté et qu'il vous faudrait vous asseoir sur votre paie. »

Cela était parfaitement vrai, si l'on apprenait que j'étais le commanditaire de l'assassinat je ne pourrais pas couler mon principal concurrent en lui faisant porter le crime, je ne pourrais pas profiter de la somme colossale des polices d'assurances de mon père et les parts de PT Corp ne me reviendraient pas, non, à la place j'irai en prison et PT Corp, faute de direction, sera soit transformée et deviendra une société collective gérée par un bureau ou pire, sera rachetée par Corellia... Nan, ce plan était parfait, s'il était suivi à la lettre, pour cela il faudrait une carotte appropriée.

« Je vous verserai un tier de la somme afin que vous puissiez renouveler votre matériel si besoin, les deux autres tiers vous seront versés une fois le contrat accomplit. Si nous partons sur une base de 5.000 crédit, maintenant, cela vous convient-il ? »

William a écrit:
Négociation
Grande Réussite :  L'offre parait exceptionnelle et vaut le coup d'être acceptée immédiatement
Réussite : L'offre est très intéressante, mais...prudence, mieux vaut entendre les conditions avant
Echec : William tente de négocier, mais son stress le déstabilise dans sa démarche et hésite sur le nombre. Freerik entrevoit le doute et comprends qu'il pourrait avoir plus.
Echec Critique : William essaie clairement de sous payer Freerik pour un contrat dangereux et complexe !
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Le membre 'William Costigan' a effectué l'action suivante : Lancer de dés


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